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il y a 3 ans
Les confidences érotiques d'une coquine et d'une rencontres BDSM originale
Rien n’allait bien, ou plutôt tout allait mal. J’éprouvais en moi un impérieux besoin de quitter cet appartement, de m’aérer, de me changer les idées. Oui mais où et pour faire quoi ? Je n’avais pas envie de bruit, de gens qui crient, de marmots qui pleurent, en fait, j’avais envie de calme, d’une autre solitude que celle de la maison. La plage !
Cette idée m’a traversée l’esprit quand la télévision, laissée allumée pour meubler, a diffusé une publicité pour les vacances dans les îles. A défaut d’aller à la Réunion, je pouvais toujours aller à la plage. Pour éviter la marmaille, j’ai pris la direction de la plage naturiste de l'Espiguette. Au début du mois de novembre, il ne devait pas y avoir grand monde, cela m’irait très bien.
Une demi-heure plus tard, j’étais allongée sur ma serviette au bord de l’eau. La plage était déserte, le rêve. Il n’y avait pas de vent, le soleil avait réchauffé le sable, la température devait avoisiner les 27 degrés. Un peu de bronzage intégral ne pouvait que me faire du bien.
Allongée sur le ventre, la tête entre mes bras, je commençais à me détendre à penser à autre chose que mes problèmes. Soudain, je me suis souvenu d’une histoire érotique que j’avais lue sur Fessestivites alors que je me cherchais un amant un peu BDSM, un peu fessée. L’héroïne était une femme soumise qui avait un Maître aimant mais ferme et très coquin. Il l’avait obligée à porter un oeuf vibrant et un plug sur la plage. Dans les dunes il l’avait attachée et faite « chauffer » jusqu’à qu’elle craque et lui demande de la sauter pour assouvir une pulsion sexuelle. Dans cette histoire érotique BDSM, il n’y avait en réalité que de l’amour. Pourquoi cela ne m’arrivait pas à moi ce genre de chose ?
Je me suis fustigée mentalement pour cette mauvaise pensée, et pour faire un peu comme dans l’histoire érotique de Fessestivites, je me suis mise une claque sur les fesses en imaginant qu’un Apollon me grondait. Lorsque j’ai ouvert les yeux, la plage était toujours déserte, alors je me suis mise sur le dos jambes écartées, offrant par là même, mon petit coquillage aux rayons du soleil. L’envie de le caresser un peu a conduit ma main entre mes jambes, le « un peu » est devenu beaucoup. Je ne m’étais jamais touchée en plein air, c’est grisant avec la brise marine et le soleil. Alors que cela commençait à venir, j’ai ouvert les yeux pour vérifier que j’étais toujours seule, et j’ai vu arriver un homme. Et mer.....
Je n’ai pas bougé ni changé de position, après tout, j’étais sur une plage naturiste, si cela ne lui plaisait pas, il n’avait qu’à aller ailleurs. Il devait avoir 35 ans, cheveux courts coupés un peu à la militaire. C’était un beau mec apparemment musclé et sportif.
Poli comme le sont les marcheurs, il m’a simplement dit « bonjour », je lui ai répondu. Et puis je ne sais pas ce qu’il m’a prise, mais j’ai eu comme une attirance pour lui. Alors je lui ai demandé s’il venait souvent ici profiter du calme. Il s’est donc arrêté, nous avons un peu parlé du coin, de la beauté de la nature qui, en cette saison, n’est pas altérée par les touristes.
Le côté cocasse de la situation était que j’étais à poil et lui vêtu. Cela ne semblait pas le gêner, ni même l’intéresser. Toujours dans mes délires que je ne saurai expliquer, je lui ai dit que je m’ennuyais un peu et, quelques secondes plus tard, j’ai glissé qu’il était beau garçon. Plus allumeuse que ça, je ne pouvais pas, alors que de nature, je suis plutôt réservée. Il s’est assis à côté de moi en me disant qu’il avait le temps et que tenir compagnie à une aussi charmante femme que moi, ne lui déplairait pas. Le charmeur a même ajouté qu’il était ravi d’avoir rencontré une sirène.
Un compliment en appelant un autre, ces échanges nous ont rapprochés physiquement. Quand j’ai posé ma main sur sa cuisse dans la conversation, j’ai compris que c’était comme si je venais de lui retirer son pantalon. En fait, il n’attendait que ça. Sa main s’est enroulée derrière ma nuque, elle s’est serrée pour mieux m’attirer contre lui. J’ai fermé les yeux et je l’ai laissé m’embrasser. A partir de là, tout est allé très vite et nos mains se sont mises à valser sur le corps de l’autre. Les miennes se sont attaquées à son jogging où elles ont trouvé le bonheur. Une belle verge bien dure. Si j’ai fait ça c’est parce que je fusionnais déjà avec lui, moi la fille un peu coincée et réservée, je ne me reconnaissais pas.
Il m’a couchée et plaquée sur ma serviette pour mieux me dévorer de bisous dans le cou puis sur les seins. Les bras tenus écartés en V, je ronronnais de plaisir, il n’avait pas besoin d’écarter mes jambes, elle s’ouvraient pour lui sans même qu’il le demande. Je me suis mise à prier le dieu de l’amour pour qu’il ait un préservatif. Mes prières ont été entendues ! La chance me souriait-elle enfin ? Il en avait toujours un dans son porte feuille par principe. Un beau principe !
Il a lâché mes poignets pour pouvoir guider son sexe en moi, j’ai gardé les bras écartés pour qu’il les reprenne et en signe de soumission et d’acceptation. Il a été doux, très doux du moins au début. A chaque fois, le sentir s’enfoncer lentement en moi était divin. Je sentais bien toute la longueur parce qu’il jouait la lenteur. Ma bouche cherchait la sienne comme pour mieux fusionner avec le molosse.
A cause de sa lenteur, de sa sublime douceur j’étais encore en manque, la jouissance ne viendrait pas. Alors j’ai fini par lui dire que j’aime bien être bousculée et un peu malmenée en amour. Que n’avais-je pas dit là ! ! ! Il m’a donnée une gifle en me disant de me taire, puis il a mis sa grosse main autour de mon cou et là j’ai eu peur. L’ange est devenu un démon, je me suis faite démonter mais je n’ai pas arrêté de jouir.
Il a fait une pause après un de mes orgasmes dévastateurs. Mes pieds et mes jambes tremblaient tant cela avait été fort, puissant. Et là il m’a demandée de me mettre à quatre pattes comme une bonne chienne soumise. L’apollon n’a pas eu à le dire deux fois, mais je lui ai volé un bisou un passant parce que jamais un homme ne m’avait comblée à ce point. La levrette fut à la hauteur de mes espérances et de mes rêves. Sa main agrippée à mes cheveux m’empêchait toute fuite, la louve était devenue un mouton criant des « oui » à répétition.
Soudain, il a commencé à jouer avec mon étroit passage, initialement réservé aux besoins naturels. Je lui ai dit « non » avant de lui dire que j’avais jamais fait par là, cela ne l’a pas arrêté. Pendant qu’il me défonçait, il préparait le passage avec ses doigts, comment l’arrêter quand on s’envole ? J’ai senti mon petit anneau s’ouvrir sous ses doigts, il semblait d’accord alors que ma tête disait « non ». Et puis il s’est attaqué à lui !
Avec douceur il a joué à j’entre, j’entre pas, mais sans jamais lâcher mes cheveux. La tête tirée en arrière j’attendais avec inquiétude la profanation de mes reins. J’ai soudain senti une pression plus forte, il m’a dit de pousser comme si je voulais aller aux toilettes, et là ... Et là, pour la première fois un sexe m’a possédée par ce chemin.
Le mot « possédée » est parfaitement adapté. Plus que jamais je me sentais prise, pleine, dilatée, perdue dans les sensations. Il m’a poussée pour que je m’allonge sur le ventre, en me suivant de sa verge pour qu’elle ne ressorte pas. Ses grosses mains ont tiré mes bras dans mon dos et il s’est allongé sur moi leur interdisant toute fuite. Je lui ai dit que cela faisait un peu mal, il m’a répondue de me décontracter et que j’allais adorer. En clair, il avait décidé de continuer et s’en moquait.
Et il a eu raison ! Au bout de quelques minutes de petits mouvements, de bisous dans le cou et sur mes épaules, j’ai fini par me décontracter. Mon apollon m’a fait connaître le nirvana. Chaque fois qu’il s’enfonçait je criais de bonheur, chaque fois qu’il reculait, j’avais peur que cela s’arrête. Le marteau-piqueur s’est ensuite mis en route et, sans tenir compte de mes suppliques de femme en plein orgasme, il m’a défoncée jusqu’à sa jouissance.
Quinze tonnes de bisous plus tard, je lui ai dit qu’il avait eu raison de ne pas écouter la vilaine fille et qu’elle mériterait une fessée. Un mot en appelant un autre, je lui ai avoué que j’aimais bien quelques claques sur les fesses. Il s’est assis et m’a demandée de m’allonger sur ses jambes. Je me suis traitée de folle mais il était trop tard pour reculer, sa main venait déjà de s’abattre sur mon fessier. J’ai pris une bonne fessée devant un marcheur la honte ! Un vieux nous regardait. Il levait le pouce comme les romains pendant que je serrais les dents !
- Elle a été très vilaine ! Lui a dit mon apollon sans aucune pitié pour ma pudeur.
Après m’avoir tanné les fesses, il m’a prise dans ses bras en faisant signe au vieux de partir. Il n’a pas demandé son reste et nous a laissés câliner. Dans ses bras j’étais bien, protégée du monde des méchants même si la peau de mes fesses piquait encore beaucoup. J’avais l’impression que des fourmis grignotaient mon épiderme.
Mon apollon n’a pas voulu que je me rhabille pour aller jusqu’à ma voiture, les rares personnes qui étaient là ont pu voir mes fesses rouges. La honte ! Il gardait mes vêtements et ma serviette pour m’empêcher de me couvrir mais il était prêt à me couvrir au cas où il y aurait des e n f a n t s. Au moment de le quitter, après m’être rhabillée j’ai osé lui demandé si on se reverrait.
- Si tu acceptes mon collier de soumise, on doit pouvoir se revoir souvent car je suis célibataire et comme tu n’as pas de bague..... !
FIN
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
Comme quoi, je devrais aller faire un tour à la plage plus souvent! merci pour le partage |
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